LA MALEDICTION DE LA MOMIE AZTEQUE (La maldicion de la momia azteca) de Rafael Portillo (Mexique - 1957) - Durée 1h05

Aventures fantastiques - Epouvante en NB-VO-ST avec Ramon Gay (le Dr Eduardo Almada), Angel Di Stefani (Popoca, la momie), Rosa Arenas (Flor Sepulveda / Xochitl), Jorge Mondragon (le Dr Sepulveda), Crox Alvarado (Pinacate), Luis Aceves Castaneda (le Dr Krupp alias "The Bat", la Chauve-souris), Jaime Gonzalez Quinones (Pepe Almada),  Arturo Martinez (Tierno, l'homme de main), Stella Indo (la chanteuse aztèque), Emma Roldan (la gouvernante d'Almada)

L'intrigue se poursuit depuis le premier film de la série "La Momie Aztèque" (voir ici pour le résumé détaillé) :
Le maléfique Dr. Krupp (alias "The Bat", la Chauve-souris) échappe à la police avec l'aide de son gang et tente à nouveau de s'emparer de la cuirasse et du bracelet en or de la princesse aztèque Xochitl. Il hypnotise sa réincarnation actuelle, Flor Sepulveda, pour l'emmener révéler l'emplacement de la tombe de Xochitl. La confusion règne alors que Krupp et ses voyous se heurtent au Dr Almada, le fiancé de Flor, à son assistant Pinacate, et à un mystérieux super-héros masqué appelé "L'Ange". Le Dr Krupp faits prisonniers Flor, le Dr Almada et l'Ange. Il tente de forcer Almada à traduire les hiérogyphes sur le pectoral afin de découvrir l'emplacement secret du trésor aztèque. Il finit cependant par se retrouver face à Popoca, la momie guerrière qui garde la tombe de Xochitl. Faisant irruption dans le laboratoire du médecin fou, Popoca tue ses hommes de main et jette le Dr Krupp dans une fosse remplie de serpents avant de récupérer les objets volés et de retourner dans sa tombe......

Ce film est le deuxième d'une trilogie, l'histoire débutant avec le film "La momie aztèque" (voir ici pour le résumé détaillé) avant de se poursuivre avec "Le robot contre la momie aztèque", toutes deux tournées également en 1957. A cette époque le public mexicain était très amateur de films d'épouvante ou d'horreur initialement lancés par Universal Pictures. Les scénaristes des films concurrentes, notamment mexicaines, faisaient en sorte d'éloigner suffisamment leurs sujets de ceux d'Universal pour échapper à d'éventuelles poursuites de celle-ci pour plagiat. Plus de détails et des critiques de ce film sur ces blogs : cliquer ici, ici et ici